Le 8 juin, un concert solo de la jeune pianiste talentueuse Alexandra Long a eu lieu dans la salle de concert de la Maison Russe.

La fille est amoureuse de la musique depuis son enfance. En tant qu’enfant, elle aimait jouer avec des clochettes. Il y en avait sept, et chacune avait un son différent. À l’âge de huit mois, elle pouvait reconnaître sans se tromper quelle clochette sonnait. À quatre ans, Sasha a commencé à essayer de jouer du piano, et sa mère n’a eu d’autre choix que d’inviter un professeur pour elle.

En plus de la musique, Alexandra aimait la poésie dès son plus jeune âge et pouvait réciter par cœur des poèmes de divers poètes qui ne semblaient pas “enfantins”. Alexandra adore également les chansons folkloriques russes et les chante avec plaisir, en connaissant beaucoup par cœur.

Oui, oui, Sasha ne jouait pas seulement du piano mais récitait aussi ses poèmes préférés. Chacune de ses performances s’appelait une “composition musicale et poétique”. Les numéros étaient annoncés par Yann Feitz et Ksenia Popova, qui ont également fait un excellent travail.

Mais revenons au concert. La salle était remplie de la magie de la musique. La jeune pianiste Alexandra a captivé les cœurs du public avec sa performance époustouflante. Son jeu virtuose au piano était une véritable célébration pour tous les présents. Chaque accord, chaque mesure était rempli d’une profonde émotion et d’une subtile maîtrise que peu de musiciens adultes peuvent atteindre. Ses doigts volaient sur les touches, créant des mélodies qui vous coupaient le souffle et vous plongeaient dans un monde de sons. La salle se taisait, plongée dans des sons tendres, pour ensuite exploser en applaudissements après les passages virtuoses.

Son professeur, Marina Rebezova, était assise au dernier rang et… il semblait qu’elle jouait avec Sasha : les doigts du professeur bougeaient sur des touches imaginaires.

Les mélodies étaient entrecoupées de vers de poètes russes. En arrière-plan, les spectateurs francophones pouvaient lire ces vers dans une traduction réalisée par le père de Sasha. Il a honnêtement admis que ce n’était que sa version de la traduction faite par l’IA.

Ce concert a été une véritable révélation et un rappel de la puissance et de l’expressivité de l’art.

Écoutez ce que dit Sasha elle-même :